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 (sam) never again, go unafraid.

Sam Fawkes
Sam Fawkes
☾ PARTNER IN CRIME
MESSAGES : 1
DEPUIS LE : 20/01/2018
PSEUDO : only angel.
AVATAR + © : bederov ma vie.
ÂGE : vingt-cinq ans.
EMPLOI : ex-dealer qui tente de s'racheter une conduite, garçon bien naïf qui croit pouvoir quitter le milieu comme on sort d'l'épicerie.
POINTS DE KARMA : 2313
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a shot in the dark
Dim 21 Jan - 13:45


prénom nom
une petite citation qui fait classe
ÂGE ET LIEU DE NAISSANCE - tu vois l'quart de siècle se rapprocher, tu sais pas réellement si tu le verras arriver, toi qui en avais peur auparavant, t'as plutôt hâte de l'fêter en t'disant que ce sera probablement le dernier, tu peux pas rester sur seulement vingt-quatre années. c'est pas drôle, tu peux pas en rester là. t'es né un douze août quatre-vingt treize, à los angeles. ORIGINES - 'ricain pur souche, le petit fawkes, l'sang qui coule dans tes veines a rien d'étranger, rien d'plus pur. CLASSE SOCIALE - maman aide secrètement aux fins de mois quand ça va pas fort, mais tu te débrouilles pas mal, et vous arrivez à vivre assez bien avec loan. EMPLOI / OCCUPATION - si papa attendait que tu fasses des longues études pour devenir avocat et reprendre sa suite, malheureusement pour lui, tu es disc-jockey et ça marche pas mal pour toi, à côté d'ça, tu dealais un peu avant, au même titre qu'tu consommais et ça, lo, il l'sait pas. ORIENTATION SEXUELLE - les courbes de ces dames ont aucun intérêt à tes yeux, les voix fluettes, les bonnets f c'est pas pour toi. toi, les mâchoires carrées, les voix rauques, la barbe de deux jours, c'est ton truc. définitivement homosexuel, et totalement assumé depuis qu'il est à tes côtés. STATUT CIVIL - loan, loan, loan et encore loan. ah, une réponse concrète ? ses yeux bleus aux allures d'océan ont eu raison de toi depuis bien longtemps. officiellement en couple. CARACTÈRE - sam, c'est tout ou rien. soit la douceur, soit l'orage. soit la bonne humeur, soit la mauvaise. soit tout va bien, soit tu broies du noir. un jour noir, un jour blanc. t'es pas un gaillard, t'es pas un grand costaud, t'es pas un grand faible non plus. t'es pas prise de tête, t'aimes pas ça, t'es du genre à fuir le conflit, à tout faire pour l'éviter bien qu'un autre côté de toi puisse se montrer provocateur parfois. sam, t'es contradictoire, à toi seul. dur à cerner, dur à comprendre. t'es pas du genre timide, non, t'es sûr de toi, t'es d'ceux qui vont vers les gens, tu leur tends la main, tu veux les voir sourire. t'es pas l'genre pacifiste pour autant, on va pas se mentir qu'il t'arrive d'envoyer des poings placés comme il faut, s'ils sont mérités, sûrement un peu d'impulsivité. t'es loyal, l'moins qu'on puisse dire. tu laisses pas tomber les autres, pas ceux à qui tu tiens en tout cas, et tu les protèges coûte que coûte. particulièrement rancunier en revanche, t'es pas celui qui pardonne facilement, qui efface sans cesse les erreurs des autres, les blessures infligées, pour les voir refaire la même chose. t'es possessif, jaloux, c'qui est à toi, on y touche pas et encore moins à ton copain. si tu n'te montres pas très expressif parfois, on va pas s'mentir, c'est probablement dû à tout c'que tu t'efforces de garder pour toi, tu t'efforces de n'pas craquer quand ça va pas, tu fais celui qui va bien même quand tout va mal, et aujourd'hui encore, alors que la mort est pas si loin que ça, tu fais celui qui sourit, tu prends encore loan dans tes bras en priant pour que ce jour soit pas le dernier. GROUPE - écrire ici.
the greatest pleasure in life is doing what people say you cannot do
☆ les jeux d'enfants. ton premier cri, tu l'pousses à los angeles. los angeles la belle, los angeles, la dite cité des anges. los angeles, la californie, l'soleil qui t'crame la peau, les plages de sable fin bondées, les rues où on s'marche dessus parc'qu'y a toujours bien trop d'monde, à la.
samuel, t'es l'premier, l'aîné, celui qu'on a attendu, espéré, dans l'schéma d'la famille parfaite, de la famille jolie, commune, banale. t'es l'seul garçon d'ailleurs, le fils unique qui occupe une place particulière au regard de papa. l'espoir de reprise de l'affaire de papa, tout de suite une bien trop grande et importante pression mise sur tes épaules frêles de gamin, d'un gamin qui a la sensation parfois que son enfance se résume qu'à des espoirs infondés qui redeviendront poussière. sam, t'as pas des rêves de grandeurs, t'es un gamin qu'a les pieds sur terre, t'es rêveur mais t'es réaliste, probablement un peu trop pour ton jeune âge et ça en est déconcertant pour certains. l'enfance, ça reste toutefois un bon souvenir, t'as pas été battu, t'as rien vécu dans l'mélodrame qui justifierait qu'tu te comportes comme l'vilain petit canard, ça a jamais été le cas, t'as été aimé, choyé, malgré tout. au même titre que hazel et mae, tes deux sœurs cadettes dont t'es totalement dingue et qu'tu protégerais envers et contre tout. tu remuerais ciel et terre pour l'bonheur de tes sœurs. elles ont respectivement deux et quatre années d'écart avec toi, c'qui est pas énorme en soit alors, vous avez toujours été extrêmement proches.

☆ adolescence, révélations, nouvelles relations. l'adolescence, c'est le moment où tout change, le moment où on grandit, où on est ni un adulte ni un gosse. l'moment où on se cherche, où les voix changent, les choix se font. les premières relations amoureuses se créent. on s'cherche, on cherche à être heureux, les papillons dans l'bide, les regards innocents et fébriles d'une première fois qui arrivera bien vite. mais toi, sam, t'a toujours senti un truc différent. parce que quand même neela, la fille la plus canon du bahut, a accepté d'aller au cinéma avec toi et qu'la soirée s'est finit en roulage de pelle, t'as rien ressenti d'plus que du dégoût, ta conscience qui hurle c'est pas pour toi, arrête d'te forcer idiot. et tu l'suis, ton instinct. parc'que plus tard, tu te rends compte que theo est là, theo et ses yeux verts qui t'emmènent loin, theo et ses fossettes qui t'font fondre instantanément, theo devant qui ton cœur s'accélère, vos mouvements deviennent étranges, gênés. c'est simple : tu contrôles plus rien. parc'qu'un beau soir, y'a ses lèvres sur les tiennes. les lèvres d'un garçon de quinze ans sur tes lèvres, à toi, sam rivera. ses mains sur ta peau et les mots jolis qui t'montent à la tête.

FLASH BACK

tu l'scrutes du coin d'l'oeil, tu sais pas quoi dire face à lui, faut dire qu'theo, il a le don pour t'faire perdre tes mots. c'est ton pote, il est sympa. mais y'a un truc, un truc qui vous perturbe, l'ombre sur l'tableau qui vient pourrir l'ambiance ou, au contraire, l'embellir. il est treize heures, sam, c'est la pause de midi et vous êtes seuls dans les couloirs du troisième étage. faut dire que vous êtes les seuls, à venir, là, dans un recoin d'un établissement qui accueille un paquet d'élèves californiens. vos potes, ils sont allés fumer, ça vous intéresse pas. vous êtes biens, t'es bien, là, sa tête calée sur tes jambes allongées sur le sol tandis que lui y est étalé de tout son long, alors que toi, tu es assis contre le mur. vous vous dites pas grand chose, pas besoin de mots parfois. dis, sam ? vos regards se croisent, un frisson parcourt ton échine rien qu'à ce simple contact visuel. tu réponds pas, il sait qu'il a toute ton attention. t'as déjà été amoureux toi ? genre... pour de vrai ? t'hausses un sourcil, t'es surpris d'sa question, ça t'prend de court. tu sais pas trop quoi dire, parc'que tu sais pas. t'es perdu, tu sais plus. j'crois pas.. pourquoi ? il hausse les épaules. j'sais pas, j'voulais un conseil, qu'il dit timidement, en baissant les yeux, avant d'reprendre rapidement : j'ai un ami qu'est amoureux d'quelqu'un, un garçon pour tout te dire, et... ils sont toujours ensemble, il tient énormément à lui sauf qu'il ose pas lui dire parce qu'il a peur de le perdre ou que ce soit pas réciproque, c'est bête je sais mais j'me suis dis que... il perd totalement ses moyens, le brun, c'en est totalement attendrissant. c'est moi.. qu'il souffle en relevant ses yeux brillants vers toi. puis tu réfléchis pas, vous réfléchissez plus. d'un coup, ses lèvres attrapent les tiennes, elles viennent appuyer avec douceur et fébrilité pour se décoller bien trop rapidement à ton goût. tu les rattrapes, il est surpris, toi aussi. pourtant, dès cet instant, ça a été très clair pour toi : tu aimes les garçons.

FIN FLASH BACK

t'es resté longtemps, avec lui, jusqu'à la fin du lycée, précisément. parc'que si tout était beau et rose au début, ça a pas tardé à s'détériorer, s'détériorer pour qu'au final tu l'trouves dans les bras d'un autre un soir de novembre où t'as tout envoyé valsé, comme un enfoiré, t'as tout laissé tomber. comme quoi, les plus belles histoires ont une fin.

☆ les platines et rien d'autre. après l'diplôme, papa il a longuement espéré que t'attaques malgré tout les études pour prendre la suite de son affaire, pour être le fils parfait qui devient avocat comme l'était son père, grand-père, arrière-grand-père. mais ça t'a jamais plu, non. toi, ça a été la musique. t'as touché à tous les instruments possibles, t'as fait d'tout, d'rien. puis un jour, t'as découvert les platines, t'as découvert ta vraie vocation, ce pourquoi t'es là.
depuis, t'as travaillé dur, très dur, pour espérer décrocher un jour le titre tant espéré de disc-jockey, peu importe où, toi, tu veux juste qu'on entende ta musique, partager ta passion et ce bien malgré la déception de papa. t'es passé au-dessus, tu t'es pas laissé l'choix en réalité qu'd'ignorer ses regards réprobateurs, ses appels discrets à t'rappeler qu'c'est pas trop tard pour changer de voie.
pourtant, aujourd'hui, bien des années après, voilà qu'tu vis de ta passion en jouant dans des clubs, des discothèques à san francisco. tu commences à gagner une notoriété certaine, c'qui est pas pour te déplaire. sam, l'rêveur, sam, qui touche son rêve du bout des doigts.


☆ les sourires rêveurs, les yeux qui s'perdent, l'bonheur dans le bide. pis un jour, t'as eu envie d'bouger, t'as eu des envies d'ailleurs. tu t'es dit qu'il était temps que tu prennes un envol, ton envol, que tu déploies tes ailes. tu t'es dit que los angeles, ça t'étouffait. qu'la belle la, elle a eu raison d'toi, ton père et ses mots forts, ses mots qui font mal qui t'résonnent encore en tête. tu f'ras rien de ta vie, j'suis déçu que mon fils soit un minable doublé d'une tafiole. les mots qui blessent, des mots qui brisent un homme mais qui t'ont pas brisé toi, parc'qu'il en faut plus pour ça, il en faut plus pour t'faire mal, tu t'blindes, tu fais comme tu peux. mais s'faire dénigrer par son propre père, c'est pire que tout mais faut croire que t'as pris l'habitude et qu'le jour de trop a été celui où sa main, son poing serré, a atterri sur ta joue, qu'il est venu la serrer autour de ton cou et qu'dans un réflexe, tu lui en as retourné une pour t'tirer. tu l'as regardé une dernière fois, ton paternel qui s'est pas r'connu, qui s'est excusé à genoux parc'que ça puait l'engueulade avec ta mère, surtout. mais sam, toi, tu t'es permis d'lui manquer d'respect une ultime fois, la seule fois où t'as levé ton majeur dans sa direction en t'promettant que tout ça, c'est fini. t'as dégagé, t'as été faire tes valises, tes sœurs qui ont voulu te retenir, tes sœurs qui ont versé des larmes mais toi, tu t'es pas retourné. tu les as pris dans tes bras, t'as embrassé leurs fronts respectifs, t'as dit à maman combien tu l'aimais et t'as embarqué cissi, la petite braque de weimar d'à peine cinq mois que t'as tant voulu. pis tu t'es tiré, comme ça. sans plus. t'es monté dans ta bagnole, ta chienne à tes côtés, et t'as roulé, roulé. t'as pas cherché à comprendre où t'allais, réellement. t'as quitté los angeles la belle, t'as visité des villes californiennes, tu t'es pas réellement posé. t'as pris du temps pour toi, t'en as même arrêté de mixer pendant un temps. pis t'as débarqué à mill valley. ça payait pas d'mine, c'était pas ta jolie cité des anges, mais ça t'a plu quand même, justement. parc'que les grandes villes étouffent, elles t'étouffent, elles t'ont étouffé jusqu'à que ça pète, jusqu'à que tu te tires une bonne fois pour toutes.
et tu t'es posé depuis, c'est pas plus simple qu'ça, sam, tu t'attendais pas à trouver la vie parfaite ici, mais ça t'suffit depuis que t'as posé tes valises, là, pas si loin qu'san francisco pour pouvoir trouver du boulot, recommencer à mixer.
pis la cerise sur l'gâteau, les choses qui s'arrangent, la lumière au bout du tunnel, les sourires enjoués, les yeux qui s'illuminent. les sentiments qui frappent à la porte, qui la forcent quand toi-même tu t'y attends pas, qui débarquent sans crier gare. loan. loan, ses yeux bleus, ses cheveux d'or. loan qui débarque avec son sourire à tomber, qui t'rend heureux à en crever. les sentiments qui naissent bien trop vite, les langues qui s'délient, qui s'avouent bien des choses au même fil que les chemises qui s'retirent pour s'écrouler au sol, au même titre que ses lèvres sur les tiennes, qui descendent dans ton cou et t'emmènent loin, qui t'disent les mots qui réveillent ton âme, ton palpitant qui s'réveille comme si on lui chantait la plus belle des mélodies. loan, loan, loan. ses bras qui t'entourent, ses rires qui t'attendrissent, ses yeux qui t'font divaguer comme personne. c'est fort, t'as l'impression d'avoir jamais ressenti ça, theo, c'était rien, à côté d'ça. c'est ton palpitant qui t'le hurle, qui t'en persuade. je t'aime. encore, toujours, même un an et demi après. parc'que voilà un an qu't'a la chance d'te réveiller contre lui chaque matin, qu'malgré les accrochages, vous vous retrouvez toujours, au coin d'l'oreiller, l'bonheur au coin des lèvres. l'bonheur qui vous enivre, c'est doux, c'est beau. et tu voudrais qu'tout ça soit éternel, tellement.

☆ la mort au bout du chemin. et y'a eu l'jour où tout est parti en fumée. y'a eu l'jour où t'as commencé à avoir mal, à avoir des palpitations mais... tu t'es dit qu'c'était rien, qu'c'était l'stress. dû à quoi ? bonne question. tu t'en es jamais soucié de ta douleur, c'était comme un point persistant mais pas insupportable pour autant.
pourtant, y'a eu cet autre jour, tu sais sam, celui où t'as eu mal à t'en tordre de douleur, à vouloir t'en arracher le cœur, tu t'en rappelles ? c'était l'soir, précisément, même que tu t'es arrêté à mcdonald's avant d'aller mixer et qu'c'est en attendant au comptoir que tu t'es écroulé. ah, ça t'revient, ça y est. ça t'revient que c'soir-là, t'es pas allé t'éclater, t'as pas bossé, non, t'as fini à l'hôpital, t'as fini dans une pièce aux murs blancs qui t'éclataient à la gueule, les blouses blanches qui défilaient, les tests, les machins, l'bordel quoi. t'as rien compris, tout est allé trop vite. un médecin qu'a ramené sa tronche, qui est venu te voir avec son sourire navré collé à la face, tu l'sentais, qu'ça puait la pitié, ça t'a dégoûté d'ailleurs. t'aimes pas la pitié des autres, tu veux pas qu'on ait pitié d'toi, t'as déçu trop d'gens pour accepter encore d'le faire aujourd'hui. parc'qu'il est venu et qu'il a foutu ta vie en l'air en trois mots. vous êtes malade. et là, ça a fait tilt, un neurone qui s'est connecté, tes sourcils qui s'sont froncés sous l'incompréhension. tu t'es dit qu'c'était rien, ça allait passer, juste un p'tit truc. mais t'as compris qu'ce serait pas le cas lorsqu'il a commencé à parler d'greffe, de chance de survie, qu'ton cas était pas rare et pas des plus prioritaires. grosso modo, t'as vite compris à partir d'ce jour qu'ta vie, elle tient plus qu'à un fil, qu'tu peux mourir, n'importe quand, parc'que t'es pas prioritaire, qu'chaque jour est une course contre la montre, un gain de temps, qu'chaque jour peut être le dernier où tu sers loan dans tes bras, loan qui sait pas, qui saura pas avant qu'tu sois proche de la fin, parc'que tu veux pas lire la tristesse dans ses yeux.

parc'que chaque jour est précieux, chaque seconde à ses côtés. et qu'à choisir, la dernière image qu'tu voudrais d'lui avant de mourir, c'est son sourire et ses yeux bleus étoilés.
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